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Une odeur d'âgisme avec la fin du carnet vert chez Desjardins Le Journal de Montréal[unable to retrieve full-text content]
Guichet d'accès à la première ligne: 2 h 30 au téléphone pour ... Le Journal de Québec« Mon mari a dit à nos enfants de ne pas mettre à jour notre Switch. Devinez ce qu’ils ont fait ? Désormais, on ne peut plus être une famille de tricheurs, comme Dieu le voulait. » Sur le groupe Facebook privé The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom, la publication d’Adrianna a obtenu une centaine de réactions amusées.
Depuis le 25 mai 2023, les témoignages similaires s’accumulent. Pourquoi les joueurs et joueuses de Zelda: Tears of the Kingdom (TOTK) se montrent-ils si réfractaires à la mise à jour de leur nouveau jeu préféré ? Parce qu’en chaque gamer malicieux se cache un petit lutin malin, avide de petites astuces et friponneries en tout genre…
Les fans en question cherchent en fait à éviter l’installation automatique d’un patch de correction du jeu, qui met fin à une faille qui permet de dupliquer les objets. Ce contournement n’est évidemment pas autorisé dans le gameplay pensé par les développeurs du jeu ; il s’agit d’un « glitch », comme il en existe souvent dans les jeux vidéo. L’exploiter peut s’avérer très utile, car multiplier les bons objets permet de récolter beaucoup, beaucoup d’argent.
Le diamant brut, par exemple, se revend 500 rubis pièce auprès des marchands, ce qui est une somme considérable dans l’écosystème du jeu TOTK. Un internaute a montré comment, avant le patch du 25 mai, il était facile de doubler sa mise, en un seul petit saut de paravoile bien maitrisé.
Depuis, c’est donc la course entre les (gentils) tricheurs et la mise à jour automatique des consoles. Sur les groupes de fans, nombreux sont ceux et celles qui cherchent à fuir la « version 1.1.2 », donnant lieu à des témoignages cocasses et beaucoup de camaraderie.
« Si vous appréciez le glitch de duplication, faites bien attention à avoir votre Switch déconnectée d’internet. Ils vont installer un patch sans notification », avait prévenu un internaute quelques jours avant la fameuse mise à jour. Bien sûr, la méthode reste très artisanale, voire court-termiste, mais elle peut servir encore à quelques fripons, le temps d’accumuler de nombreux rubis, avant de devoir jouer comme tous les autres mortels.
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À moins de complètement éviter le Web depuis la sortie de Zelda: Tears of the Kingdom il y a deux semaines, vous avez probablement entendu parler d’un glitch qui permet de dupliquer des items dans le jeu.
C’est particulièrement pratique si vous voulez accumuler des rubies (rupees) rapidement. Hélas, le glitch qui permettait de dupliquer des objets semble avoir été corrigé dans la mise à jour 1.1.2, du moins selon plusieurs internautes déçus.
Il y avait plusieurs techniques pour profiter du glitch, dont une qui utilise le Paravoile.
Dans le subreddit de Tears of the Kingdom, plusieurs joueurs expliquent pouvoir encore profiter du glitch parce qu’ils n’ont pas mis à jour leur jeu. Certains suggèrent de ne pas fermer l’application du jeu, ou de mettre la console en mode avion pour l’instant pour éviter la mise à jour.
De nouvelles techniques ont déjà été découvertes pour continuer à dupliquer certains objets. Il faudra être beaucoup plus patient qu’avant, cependant, comme l’explique ce YouTubeur. Mais, cette méthode pourrait être corrigée dans une autre mise à jour aussi.
La mise à jour 1.1.2 corrige également des problèmes de sons dans «certaines situations». Les notes de la «patch» sont sur le site officiel de Nintendo (en anglais).
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Les musées wokes de Justin Trudeau Le Journal de Montréal[unable to retrieve full-text content]
Les musées wokes de Justin Trudeau Le Journal de MontréalJour de vote en Espagne et à Barcelone où la maire sortante, Ada Colau (extrême gauche-écologiste) brigue un troisième mandat. Cette dernière arrivait en tête à 20 heures mais après dépouillement de la moitié des votes, elle a été devancée par le socialiste Jaume Collboni puis par l'indépentiste Xavier Trias.
La maire sortante en tête des suffrages à 20 heures, selon les estimations de nos confrères catalans de TV3 à la sortie des urnes. serait deuxième à 21 h 45 après le dépouillement de la moitié des bulletins de vote. C'est son premier adjoint Jaume Collboni (PS) qui vire en tête devant Xavier Trias (Junts), troisième. Mais ce dernier a repirs l'avantage pour virer en tête un peu avant 23 heures.
Par ailleurs, la droite du Parti popular mais aussi l'extrême droite de Vox décrocheraient des sièges au conseil municipal barcelonais.
Ces éléments sont toujours à prendre avec prudence, d'autant que les enquêtes réalisées cette semaine annonçaient une élection serrée autour de ces trois candidats.
Face à Ada Colau, et à égalité avec elle dans les derniers sondages : son premier adjoint Jaume Collboni (PS) et Xavier Trias (indépendantistes de Junts).
Selon les sondages les trois pouvaient prétendre cette semaine à remporter l’écharpe. Derrière ce trio, un autre candidat indépendantiste, celui d’ERC, Ernest Maragall, soutenu par le président de la Generalitat, Pere Aragonès.
À 18 heures ce dimanche 28 mai, la participation à Barcelone est donnée sous la barre des 50 %, à 48,59 %. 3,3 % de moins qu’au précédent scrutin de 2019, notent nos confrères du média en ligne Equinox.
Phénomène qui n’est pas propre à Barcelone puisque la baisse de participation est constatée dans le reste de la Catalogne.
Un seul tour rythme ces municipales à l’issue duquel un candidat doit obtenir au moins 21 des 41 sièges du conseil municipal barcelonais. Faute d’atteindre ce nombre, le candidat avec le plus de voix et de sièges projetés remporte le scrutin.
Mais des coalitions peuvent se mettre en place entre candidats afin d’obtenir cette majorité absolue de 21 sièges et gagner ainsi l’élection. Les derniers sondages octroyant 10 à 11 sièges à chacun des trois premiers candidats, la seconde option, celle d’une coalition, devrait se dessiner dans quelques heures.
Jour de vote en Espagne et à Barcelone où la maire sortante, Ada Colau (extrême gauche-écologiste) brigue un troisième mandat. Cette dernière arrivait en tête à 20 heures mais après dépouillement de la moitié des votes, elle a été devancée par le socialiste Jaume Collboni puis par l'indépentiste Xavier Trias.
La maire sortante en tête des suffrages à 20 heures, selon les estimations de nos confrères catalans de TV3 à la sortie des urnes. serait deuxième à 21 h 45 après le dépouillement de la moitié des bulletins de vote. C'est son premier adjoint Jaume Collboni (PS) qui vire en tête devant Xavier Trias (Junts), troisième. Mais ce dernier a repirs l'avantage pour virer en tête un peu avant 23 heures.
Par ailleurs, la droite du Parti popular mais aussi l'extrême droite de Vox décrocheraient des sièges au conseil municipal barcelonais.
Ces éléments sont toujours à prendre avec prudence, d'autant que les enquêtes réalisées cette semaine annonçaient une élection serrée autour de ces trois candidats.
Face à Ada Colau, et à égalité avec elle dans les derniers sondages : son premier adjoint Jaume Collboni (PS) et Xavier Trias (indépendantistes de Junts).
Selon les sondages les trois pouvaient prétendre cette semaine à remporter l’écharpe. Derrière ce trio, un autre candidat indépendantiste, celui d’ERC, Ernest Maragall, soutenu par le président de la Generalitat, Pere Aragonès.
À 18 heures ce dimanche 28 mai, la participation à Barcelone est donnée sous la barre des 50 %, à 48,59 %. 3,3 % de moins qu’au précédent scrutin de 2019, notent nos confrères du média en ligne Equinox.
Phénomène qui n’est pas propre à Barcelone puisque la baisse de participation est constatée dans le reste de la Catalogne.
Un seul tour rythme ces municipales à l’issue duquel un candidat doit obtenir au moins 21 des 41 sièges du conseil municipal barcelonais. Faute d’atteindre ce nombre, le candidat avec le plus de voix et de sièges projetés remporte le scrutin.
Mais des coalitions peuvent se mettre en place entre candidats afin d’obtenir cette majorité absolue de 21 sièges et gagner ainsi l’élection. Les derniers sondages octroyant 10 à 11 sièges à chacun des trois premiers candidats, la seconde option, celle d’une coalition, devrait se dessiner dans quelques heures.
Nintendo a publié la mise à jour de la version 1.1.2 pour La légende de Zelda : les larmes du royaume avec plusieurs corrections de bugs. L’une des corrections de bogues de la nouvelle mise à jour résout un problème majeur concernant la quête « Camera Work in the Depths ».
La légende de Zelda : les larmes du royaume la version 1.1.2 corrige un bogue de quête empêchant la progression de la quête principale « Camera Work in the Depths ». La quête principale Camera Work in the Depths peut être acceptée en parlant à Josha après avoir aidé Purah avec la Lookout Landing Skyview Tower. Les joueurs qui ont rencontré le bug de la quête peuvent télécharger la nouvelle mise à jour et procéder comme prévu dans The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom.
La dernière mise à jour pour La légende de Zelda : les larmes du royaume corrige également un bogue audio, qui peut jouer le son à un volume extrêmement élevé. De plus, plusieurs problèmes non spécifiés ont été résolus pour améliorer l’expérience globale selon Nintendo. Les fans sont encouragés à mettre à jour vers la dernière version pour éviter que les bogues répertoriés ne se produisent. Il convient de noter que cette mise à jour particulière semble avoir corrigé de nombreux problèmes de duplication, cependant.
Notes de mise à jour pour la dernière mise à jour pour La légende de Zelda : les larmes du royaume sont listés ci-dessous, via Nintendo :
Dernièrement, La légende de Zelda : les larmes du royaume est maintenant disponible pour Nintendo Switch dans le monde entier.
Calgary, Alberta--(Newsfile Corp. - 26 mai 2023) - Suncor Énergie (TSX: SU) (NYSE: SU) (« Suncor ») a annoncé qu'elle a été informée que ConocoPhillips Canada (« ConocoPhillips ») a choisi d'exercer son droit de premier refus à l'égard de la participation directe de 50 % de TotalEnergies dans l'actif Surmont.
L'entente de Suncor visant à conclure la transaction pour acquérir les activités canadiennes de TotalEnergies était conditionnelle à ce que ConocoPhillips renonce à son droit de premier refus à l'égard de la participation directe dans Surmont. Par conséquent, chacune des parties a le droit de mettre fin à l'entente en vertu de laquelle Suncor acquerrait les activités canadiennes de TotalEnergies et Suncor évaluera la transaction à la lumière de ce changement.
Suncor est la plus importante société énergétique intégrée au Canada. Les activités de Suncor sont reliées notamment au développement, à la production et la valorisation des sables bitumineux, à la production pétrolière et gazière extracôtière, au raffinage du pétrole au Canada et aux États-Unis, et aux réseaux de distribution des ventes au détail et des ventes en gros Petro-Canada de l'entreprise, comprenant la Transcanadienne électrique, un réseau de bornes de recharge rapide pour VÉ d'un océan à l'autre. Suncor développe des ressources pétrolières tout en faisant progresser la transition vers un avenir sobre en carbone grâce à des investissements dans l'électricité, les carburants renouvelables et l'hydrogène. Suncor mène également des activités de commerce de l'énergie axées principalement sur la commercialisation et la négociation de pétrole brut, de gaz naturel, de sous-produits, de produits raffinés et de l'électricité. Suncor a été reconnue pour son rendement et ses rapports transparents des indices de durabilité Dow Jones, FTSE4Good et CDP. Les actions ordinaires de Suncor (symbole : SU) sont inscrites à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York.
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(Québec) François Legault est prêt à augmenter le nombre d’immigrants permanents que le Québec accueille chaque année à plus de 60 000 d’ici 2027, un scénario qu’il jugeait « un peu suicidaire » pour l’avenir du français lors des dernières élections. Le premier ministre affirme que la situation a changé puisqu’il exigera à l’avenir une connaissance minimale du français de la part des travailleurs étrangers qualifiés, mais aussi grâce à Ottawa, qui lui permet de hausser l’immigration économique sans que les autres catégories suivent la même tendance.
La ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, a déposé jeudi au Salon bleu les propositions gouvernementales qui mèneront l’automne prochain aux consultations pour mettre à jour la Planification pluriannuelle de l’immigration au Québec pour la période 2024-2027. Le gouvernement met en jeu deux scénarios.
Le premier reprend intégralement la promesse faite en campagne électorale par François Legault, à savoir qu’il maintient pour l’ensemble de son deuxième mandat le seuil d’immigrants permanents accueillis annuellement à 50 000. Or, un deuxième scénario soumis aux consultations aurait pour effet de briser cet engagement.
Dans cette seconde hypothèse, Québec propose de hausser ce seuil à 60 000 d’ici 2027, le faisant progresser de 50 000 immigrants permanents en 2024 à 54 000 en 2025, 57 000 en 2026 et 60 000 en 2027.
À ce nombre s’ajoutent les étudiants étrangers essentiellement diplômés des cégeps et universités francophones qui postuleraient à une nouvelle version du Programme de l’expérience québécoise (PEQ). Pour cette raison, il est difficile d’estimer le nombre d’étudiants qui cogneraient à la porte de ce programme remanié. Sous son ancienne forme au cours des dernières années, entre 2000 et 8000 étudiants ont été admis annuellement.
Dans le scénario à plus de 60 000 immigrants par année, la part de l’immigration économique passerait de 64 % de l’immigration totale au Québec en 2024 à 70 % en 2027. Dans tous les cas, le nombre des réfugiés accueillis demeurerait à 7200 pour l’ensemble de la période. « On parle d’une augmentation qui est modérée », a affirmé François Legault jeudi.
Au cours des derniers mois, le premier ministre a affirmé qu’il souhaitait une immigration entièrement francophone ou francotrope d’ici 2027, y voyant un levier afin d’inverser le déclin du français dans la province. Les groupes économiques demandent depuis des années que le gouvernement augmente significativement le nombre d’immigrants afin de pallier la pénurie de main-d’œuvre.
Alors que Québec a plafonné à 50 000 le seuil annuel de nouveaux arrivants économiques, rappelons que la province compte un nombre croissant de ressortissants étrangers temporaires.
Au 31 décembre dernier, on comptait 108 410 travailleurs étrangers temporaires (35 215 relevant du Programme des travailleurs étrangers temporaires et 73 195 du Programme de mobilité internationale), ainsi que 93 370 étudiants étrangers sur le territoire québécois.
Une commission parlementaire se tiendra également l’automne prochain. Ce n’est qu’une fois ce processus terminé que Québec déposera officiellement ses cibles. François Legault a aussi promis jeudi que son gouvernement déposerait prochainement de nouvelles mesures pour assurer une plus grande proportion des immigrants temporaires qui parlent le français.
En point de presse jeudi, alors qu’il était accompagné de la ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, ainsi que du ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, M. Legault a annoncé des modifications aux programmes d’immigration économique. Québec troque ainsi son Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ), la principale porte d’accès en immigration, contre le Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ).
Ce nouveau programme ratisse large. Il vise à la fois les travailleurs qui ont des compétences liées à une formation postsecondaire, qui ont une formation générale ou technique, qui exercent un métier réglementé au Québec et qui ont des expertises rares. L’objectif est que ces immigrants, une fois arrivés au Québec, travaillent dans leur profession. Dans tous les cas, ces derniers devront démontrer une connaissance intermédiaire du français à l’oral et dans certains cas à l’écrit, selon un niveau qui varie selon le secteur économique visé.
Le gouvernement réforme aussi une fois de plus le Programme de l’expérience québécoise (PEQ), que le précédent ministre de l’Immigration, Simon Jolin-Barrette, avait modifié dans la controverse.
Cette fois-ci, il retire du volet destiné aux étudiants étrangers une exigence qu’il avait lui-même imposée, soit celle d’obtenir une expérience de travail au Québec au terme d’une scolarité avant de postuler. La précédente réforme avait eu pour effet de faire chuter le nombre de demandeurs.
Désormais, les étudiants étrangers qui terminent leurs études au Québec dans un programme enseigné en français admissible au PEQ, ou ceux qui étudient en anglais, mais qui démontrent « la réussite d’au moins trois ans d’études secondaires ou postsecondaires à temps plein en français autrement que dans le cadre du programme d’études admissibles au PEQ », pourront postuler au programme.
D’autres programmes, comme le Programme des investisseurs (PI), le Programme des entrepreneurs (PE) et le Programme des travailleurs autonomes (PTA), sont également modifiés pour ajouter de nouvelles exigences linguistiques.
Avec la collaboration de Tommy Chouinard, La Presse
(Québec) Québec est prêt à augmenter le nombre d’immigrants permanents qu’il accueille chaque année à 60 000 d’ici 2027, un scénario que François Legault jugeait comme étant « un peu suicidaire » pour l’avenir du français lors de la dernière campagne électorale. Le premier ministre a par ailleurs annoncé des modifications aux programmes d’immigration économique pour que ces ressortissants aient une connaissance minimale du français dès leur admission.
La ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, a déposé jeudi au Salon bleu les propositions gouvernementales qui mèneront l’automne prochain aux consultations pour mettre à jour la Planification pluriannuelle de l’immigration au Québec pour la période 2024-2027.
Le gouvernement met au jeu deux scénarios. Le premier reprend intégralement la promesse faite en campagne électorale par François Legault, à savoir qu’il maintient pour l’ensemble de son deuxième mandat le seuil d’immigrants permanents accueillis annuellement à 50 000. En septembre dernier, le premier ministre avait affirmé qu’il serait « un peu suicidaire » pour le français de l’augmenter davantage.
Or, un deuxième scénario soumis aux consultations aurait pour effet, s’il est retenu, de briser cet engagement. Il propose plutôt de hausser ce seuil à 60 000 d’ici 2027, le faisant progresser de 50 000 immigrants permanents en 2024 à 54 000 en 2025, 57 000 en 2026 et 60 000 en 2027. Dans ce scénario, la part de l’immigration économique passerait de 64 % des immigrants reçus au Québec sur une base annuelle en 2024 à 70 % en 2027. Dans tous les cas, le nombre des réfugiés accueillis demeurerait à 7200 pour l’ensemble de la période.
Au cours des derniers mois, François Legault a affirmé qu’il souhaitait une immigration entièrement francophone ou francotrope d’ici 2027, y voyant un levier afin d’inverser le déclin du français dans la province. Les groupes économiques demandent depuis des années que le gouvernement augmente significativement le nombre d’immigrants afin de pallier la pénurie de main-d’œuvre. À l’automne 2021, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) demandait par exemple à Québec de hausser son seuil annuel à « au moins » 60 000.
Les citoyens et les organismes sont sollicités par le gouvernement pour déposer un mémoire ou répondre à un questionnaire sur le site internet de l’Assemblée nationale afin d’émettre leur opinion concernant les scénarios proposés. Une commission parlementaire se tiendra également l’automne prochain. Ce n’est qu’une fois ce processus complété que Québec déposera officiellement ses cibles.
Alors que Québec a plafonné à 50 000 le seuil annuel de nouveaux arrivants économiques, rappelons que la province compte un nombre croissant de ressortissants étrangers temporaires. Au 31 décembre dernier, on comptait 108 410 travailleurs étrangers temporaires (35 215 relevant du Programme des travailleurs étrangers temporaires et 73 195 du Programme de mobilité internationale), ainsi que 93 370 étudiants étrangers sur le territoire québécois.
En point de presse jeudi après-midi, le premier ministre François Legault, la ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, ainsi que le ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, ont annoncé des modifications aux programmes d’immigration économique. Québec troque ainsi son Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ), qui a connu des ratés dans les dernières années, pour le remplacer par le Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ).
Ce nouveau programme ratisse large. Il vise à la fois les travailleurs qui ont des compétences liées à une formation postsecondaire, qui ont une formation générale ou technique, qui exercent un métier réglementé au Québec et qui ont des expertises rares. L’objectif est que ces immigrants, une fois arrivés au Québec, travaillent dans leur profession. Dans tous les cas, ces derniers devront démontrer une connaissance minimale du français à l’oral et à l’écrit selon un niveau qui varie dépendamment du secteur économique visé.
Le gouvernement réforme aussi une fois de plus le Programme de l’expérience québécoise (PEQ), que le précédent ministre de l’Immigration, Simon Jolin-Barrette, avait modifié dans la controverse. Cette fois-ci, il retire du volet destiné aux étudiants étrangers sa propre exigence qu’il avait imposée, soit celle d’obtenir une expérience de travail au Québec au terme d’une scolarité avant de pouvoir demander le certificat de sélection du Québec (CSQ), qui ouvre la porte à la résidence permanente.
Désormais, les étudiants étrangers qui terminent leurs études au Québec dans un programme enseigné en français admissible au PEQ, ou ceux qui démontrent « la réussite d’au moins trois ans d’études secondaires ou postsecondaires à temps plein en français autrement que dans le cadre du programme d’études admissibles au PEQ », pourront postuler au programme.
D’autres programmes, comme le Programme des investisseurs (PI), le Programme des entrepreneurs (PE) et le Programme des travailleurs autonomes (PTA), sont également modifiés pour ajouter de nouvelles exigences linguistiques.
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Les villes n'ont pas d'affaire dans notre chambre à coucher Le Journal de MontréalLa dernière mise à jour de Windows 10 provoque de nombreux bugs et erreurs critiques chez certains utilisateurs. Beaucoup se plaignent en effet de l’apparition d’écran bleu de la mort ou d’autres plantages récurrents. Microsoft n’a pas encore réagi.
Chaque nouvelle mise à jour de Windows apporte son lot de bugs. La dernière en date pour Windows 10, la KB5026361, ne fait pas exception à la règle. Déployée le 9 mai dernier, elle traine de sérieux problèmes, pouvant aller jusqu’à des plantages critiques.
Windows Latest indique en effet que de nombreux utilisateurs se plaignent de cette mise à jour. Nous parlons de gros soucis, de ceux qui font planter votre PC. Heureusement, seule une toute petite partie des ordinateurs semblent concernée.
Parmi les soucis, on note l’apparition intempestive du célèbre écran bleu de la mort, synonyme d’erreur critique qui nécessite un redémarrage, ou encore l’échec des téléchargements d’update pour Microsoft Edge. Le plus important repéré est un plantage total du système avec la mention « PROCESS1 INITIALIZATION FAILED ». Pour ne plus rencontrer ces bugs, un développeur touché indique qu’il faut installer la mise à jour manuellement via une clé USB contenant le fichier ISO de l’OS. De là, il « suffit » d’effectuer une réparation du système d’exploitation.
A lire aussi – Windows 11 : la mise à jour est gratuite pour les utilisateurs de Windows 7 et 8, comment la télécharger
Enfin, certains ne peuvent même pas mettre leur machine à jour, puisque le code erreur 0x800f0922 apparaît. Ce dernier oblige l’utilisateur à rebooter son PC lors de l’installation (qui ne s’effectue jamais) au risque de corrompre ses fichiers.
Ces problèmes semblent marginaux, mais de plus en plus d’utilisateurs disent en être victimes. Pour le moment, Microsoft n’a pas encore réagi, mais nul doute que la firme de Redmond soit au courant du problème. On espère un patch correctif très prochainement, ces soucis pouvant sérieusement affecter l’expérience.
A noter que Windows 11, qui a lui aussi reçu sa mise à jour de mai, est également victime de bugs, moins sérieux toutefois. En effet, de très nombreux utilisateurs ont remarqué une dégradation de leur débit Internet lorsqu’ils activaient leur VPN. Là encore, ce souci devrait être réglé d’ici peu.
Source : Windows Latest
La mise à jour KB5026361 de Windows 10 ne se passe pas très bien. Selon plusieurs utilisateurs, de graves problèmes se présentent depuis ce patch. Certains entraînent même le fameux écran bleu de la mort !
Beaucoup d’utilisateurs disposent de Windows 10 même si Microsoft force le passage vers Windows 11 avec de la publicité. Il faut dire que le système d’exploitation possède de solides atouts. Malheureusement, la mise à jour KB5026361 de mai 2023 cause certains problèmes pour certaines machines comme le rapporte Windows Latest.
À lire > Windows 11 : prix, fonctionnalités, nouveautés, comment mettre à jour, tout ce que vous devez savoir
La mise à jour KB5026361 de Windows 10 a son lot de problèmes selon Windows Latest qui a reçu des messages de la part de lecteurs mécontents. C’est le 9 mai que ce patch a été déployé, entraînant avec lui le fameux écran bleu de la mort ou blue screen of death dans la langue de Shakespeare.
Pour ceux qui l’ignorent, il s’agit d’un écran bleu avec un message d’erreur suite à une erreur du système ou une erreur fatale. Cet affichage existe depuis de nombreuses années, devenu véritable running gag du système d’exploitation Windows. L’une des erreurs les plus graves de cette mise à jour KB5026361 reste le message « PROCESS1 INITIALIZATION FAILED ».
Pour corriger ce problème, un utilisateur n’a eu d’autre choix que d’utiliser l’invite de commande pour démarrer manuellement les pilotes RAID AMD avant d’utiliser une image d’installation de Windows 10 depuis une clé USB pour effectuer une réparation au démarrage.
À lire > Windows 11 : l’énorme mise à jour Moment 3 arrive, quelles nouveautés ?
Parmi les autres problèmes, on parle également d’un code d’erreur 0x800f0922 au moment de l’installation de la mise à jour KB5026361 de Windows 10. Sans oublier des redémarrages forcés, des erreurs dans les mises à jour de Microsoft Edge ou encore l’affichage de ce message d’erreur dans l’observateur d’événements : « x800F0984 0x800F0984 Matching binary : vmswitch.sys missing for component : amd64_microsoft-hyper-v-d.. ».
Pour le moment, Microsoft n’a pas répondu aux problèmes causés par cette mise à jour. Windows 11 connaît également des difficultés et autres bugs. Reste à attendre un correctif de la part de la firme de Redmond.
Un problème touche le système d’exploitation Windows de Microsoft. Que nous parlions de Windows 11 ou de Windows 10 il est connu depuis plusieurs mois.
Le géant du logiciel vient d’actualiser un problème concernant Windows connu depuis le mois de janvier 2023. Il peut affecte le menu Démarrer, la recherche Windows et les applications UWP. UWP est la contraction de Universal Windows Platform. Cette mise à jour de Microsoft n’apporte par de nouvelle information à la description de la défaillance. Elle ajoute seulement Windows 10 22H2 à la liste des OS concernés. Elle comprend Windows 11 21H2 et 22H2, Windows 10 20H2, 21H2 et 22H2.
Microsoft explique que
Le menu Démarrer, la recherche Windows et les applications UWP peuvent ne pas fonctionner comme prévu ou peuvent avoir des problèmes d’ouverture […] Les appareils concernés peuvent avoir endommagé des clés de Registre ou des données susceptibles d’affecter les applications utilisant les API Microsoft Office afin de s’intégrer à Windows, Microsoft Office, Microsoft Outlook ou Outlook Calendrier.
Le logiciel Clickshare de Barco a été identifié en février dernier comme étant une source possible à cette défaillance. Sur l’une des pages de support de Barco il est précisé que les PCs concernés peuvent être victimes
Si vous êtes concernés une solution est de
Barco ajoute que le problème peut persister. Il faudra alors corriger le profil utilisateur manuellement.
Microsoft indique qu’il peut y avoir d’autres applications à l’origine de cette défaillance. Cette dernière n’est cependant pas liée à une mise à jour Windows. La firme recommande de désinstaller toutes les applications qui s’intègrent à Windows, Microsoft Office, Microsoft Outlook ou Outlook Calendar. Une mise à jour de ces applications peut aussi résoudre la situation.
Les ingénieurs de Microsoft travaillent sur la question.
Plus tôt ce mois-ci, nous avons indiqué qu'une marque d'ordinateurs bien connue a désactivé les imprimantes de clients utilisant des cartouches d'encre de sociétés concurrentes. Hewlett-Packard, ou HP, a provoqué la colère des utilisateurs après avoir publié une récente mise à jour du micrologiciel qui empêche les clients d'utiliser des cartouches d'encre non HP moins chères dans ses imprimantes.
Les appareils des clients ont été mis à jour à distance conformément aux nouvelles conditions, ce qui signifie que leurs imprimantes ne fonctionneront que si elles sont équipées de cartouches d'encre approuvées. La mise à jour empêche aux clients d'utiliser d'autres cartouches que celles équipées d'une puce HP, souvent plus chères. Si le client essaie d'utiliser une cartouche d'encre non HP, l'imprimante refusera d'imprimer.
Les imprimantes HP affichaient auparavant un avertissement lorsqu'une cartouche d'encre « tierce » était insérée, mais désormais, les imprimantes refusent tout simplement d'imprimer.
La société a déclaré avoir publié la mise à jour pour réduire le risque d'attaques de logiciels malveillants, affirmant que « les cartouches tierces qui utilisent des puces ou des circuits non HP peuvent présenter des risques pour les performances matérielles, la qualité d'impression et la sécurité ». Elle a également déclaré qu'elle s'appuyait sur des mises à jour régulières pour améliorer ses services, comme l'introduction d'alertes pour certains clients leur indiquant lorsque leur encre est faible.
Cependant, selon le site Web de HP, la société bloque également l'utilisation de cartouches concurrentes afin de « maintenir l'intégrité de nos systèmes d'impression et protéger notre propriété intellectuelle ».
Les clients se sont également plaint de l'apparition d'un écran bleu. HP assure qu'il affecte un « nombre limité » de ses clients, que ses équipes travaillent « avec diligence pour résoudre l’erreur d’écran bleu qui affecte un nombre limité d’imprimantes HP OfficeJet Pro 9020e » et recommande aux clients touchés de contacter son équipe de support client pour obtenir de l'aide.
Les imprimantes concernées incluent les modèles HP OfficeJet 902x, y compris HP OfficeJet Pro 9022e, HP OfficeJet Pro 9025e, HP OfficeJet Pro 9020e All-in-One, HP OfficeJet Pro 9025e All-in-One Printer
Les clients concernés signalent que leurs appareils affichent des écrans bleus avec des erreurs "83C0000B" sur l'écran tactile intégré.
Depuis que les problèmes sont apparus, plusieurs fils de discussion ont été lancés par des personnes des États-Unis, du Royaume-Uni, d'Allemagne, des Pays-Bas, d'Australie, de Pologne, de Nouvelle-Zélande et de France qui avaient leurs imprimantes maçonnées, certaines avec plus d'une douzaine de pages de rapports.
Par exemple, nous pouvons évoquer ce client HP qui a ouvert une discussion de la sorte :
Pour information j'ai le même problème survenu le 8/05 et il semble que nous soyons nombreux dans ce cas.
Mon imprimante est sous garantie et après avoir passé plus de 2heures hier avec l'assistance HP (reset électrique impossible) , aucune solution n'a été trouvé. Cela serait dû à une mise à jour lancée automatiquement et qui a échouée bloquant ainsi le micro logiciel de l'imprimante. HP me dite que le sujet est à l'étude par leurs services technique mais ne peuvent s'engager sur le délai de réponse .. Je ne vois pas comment ils vont procéder à une nouvelle MAJ sachant que l'imprimante ne démarre plus..
Même si un échange était validé (et quand ??) , il faut compter environ 14 J pour l'expédition... Dans mon cas, j'ai retourné l'imprimante HS au distributeur (Amazon) qui a, lui 14 J calendaire max, pour prendre une décision (réparer, échanger ou rembourser). Autant dire que je demanderai le remboursement et bye bye HP.
Bon courage
HP n'a pas de solution pour le moment. Le menu de service masqué ne s'affiche pas et l'imprimante ne démarre plus. Juste un écran bleu...
Je ne sais pas comment vous pousseriez un nouveau firmware sur un appareil bloqué...
C'est très problématique.
Un autre a estimé que le seul moyen de résoudre le problème était d'envoyer l'imprimante pour réparation à HP et que « le micrologiciel ne se charge même pas partiellement, il plante instantanément... HP a bloqué à distance nos appareils ! Certains utilisateurs ont dit qu’HP leur enverrait un remplacement ».
Étant donné que la mise à jour boguée semble s'installer automatiquement sur les imprimantes connectées à Internet, il est conseillé aux clients HP de désactiver la connexion Internet de leurs appareils et d'attendre une mise à jour du micrologiciel pour résoudre le problème de blocage.
Comment mettre à jour le firmware de son imprimante HP ?
Il existe plusieurs méthodes pour mettre à jour le firmware d’une imprimante HP, en fonction du modèle et de l’état de l’imprimante. HP recommande de vérifier régulièrement la disponibilité des mises à jour du firmware pour bénéficier des améliorations, des mises à jour d’applications ou des corrections de problèmes.
Avant de procéder à la mise à jour du firmware, il faut s’assurer que les solutions utilisées avec l’imprimante HP sont compatibles avec la nouvelle version du firmware et que l’on dispose d’une connexion réseau ou d’une clé USB et d’un accès à Internet. Il faut également vérifier que l’on dispose des privilèges d’administrateur ou d’un code d’accès pour effectuer les étapes suivantes.
Mise à jour du firmware par le menu Maintenance (état prêt)
Cette méthode consiste à utiliser une clé USB contenant le fichier du firmware téléchargé depuis le site web d’HP et à l’insérer dans le port USB de l’imprimante. Ensuite, il faut accéder au menu Maintenance sur le panneau de commande de l’imprimante et sélectionner l’option Mise à jour du firmware. L’imprimante va alors détecter le fichier du firmware sur la clé USB et lancer la mise à jour.
Mise à jour du firmware par le serveur Web intégré (EWS) (état prêt)
Cette méthode consiste à utiliser un ordinateur connecté au même réseau que l’imprimante et à accéder au serveur Web intégré (EWS) de l’imprimante en tapant son adresse IP dans un navigateur web. Ensuite, il faut se rendre dans la section Système, puis Mise à jour du firmware et cliquer sur Choisir un fichier pour sélectionner le fichier du firmware téléchargé depuis le site web d’HP. Il faut ensuite cliquer sur Mettre à jour pour lancer la mise à jour.
Mise à jour du firmware par le menu Preboot (état erreur)
Cette méthode s’applique aux imprimantes qui sont dans un état d’erreur, par exemple si elles affichent un écran bleu avec un code d’erreur. Il faut alors utiliser une clé USB contenant le fichier du firmware téléchargé depuis le site web d’HP et l’insérer dans le port USB de l’imprimante. Ensuite, il faut redémarrer l’imprimante en appuyant sur le bouton Marche/Arrêt tout en maintenant enfoncé le bouton Retour jusqu’à ce que le menu Preboot apparaisse sur l’écran tactile de l’imprimante. Il faut alors naviguer dans le menu Preboot jusqu’à trouver l’option Mise à jour du firmware et la sélectionner. L’imprimante va alors détecter le fichier du firmware sur la clé USB et lancer la mise à jour.
Mise à jour du firmware par Web Jetadmin (état prêt)
Cette méthode permet de mettre à jour plusieurs imprimantes HP en même temps en utilisant le logiciel Web Jetadmin, qui est un outil de gestion centralisée des périphériques HP. Il faut installer Web Jetadmin sur un ordinateur connecté au même réseau que les imprimantes et télécharger les fichiers du firmware depuis le site web d’HP. Ensuite, il faut ouvrir Web Jetadmin et se rendre dans la section Outils, puis Mise à jour du micrologiciel. Il faut alors sélectionner les imprimantes que l’on souhaite mettre à jour et choisir les fichiers du firmware correspondants. Il faut ensuite cliquer sur Mettre à jour pour lancer la mise à jour
Sources : HP (1, 2), plaintes clients HP, écran bleu
Et vous ?
Avez-vous été affecté par la mise à jour du firmware défectueuse d’HP ?
Quelle méthode avez-vous utilisé ou utiliserez-vous pour mettre à jour le firmware de votre imprimante HP ?
Quelle est votre opinion sur la politique d’HP concernant les cartouches d’encre non-HP ?
Quelles sont les améliorations ou les fonctionnalités que vous aimeriez voir dans les prochaines mises à jour du firmware d’HP ?
Pour participer, vous n'avez qu'à cliquer sur le lien suivant → Choisir mon jeu vidéo !
La dernière mise à jour de Windows 10 provoque de nombreux bugs et erreurs critiques chez certains utilisateurs. Beaucoup se plaignent en effet de l’apparition d’écran bleu de la mort ou d’autres plantages récurrents. Microsoft n’a pas encore réagi.
Chaque nouvelle mise à jour de Windows apporte son lot de bugs. La dernière en date pour Windows 10, la KB5026361, ne fait pas exception à la règle. Déployée le 9 mai dernier, elle traine de sérieux problèmes, pouvant aller jusqu’à des plantages critiques.
Windows Latest indique en effet que de nombreux utilisateurs se plaignent de cette mise à jour. Nous parlons de gros soucis, de ceux qui font planter votre PC. Heureusement, seule une toute petite partie des ordinateurs semblent concernée.
Parmi les soucis, on note l’apparition intempestive du célèbre écran bleu de la mort, synonyme d’erreur critique qui nécessite un redémarrage, ou encore l’échec des téléchargements d’update pour Microsoft Edge. Le plus important repéré est un plantage total du système avec la mention « PROCESS1 INITIALIZATION FAILED ». Pour ne plus rencontrer ces bugs, un développeur touché indique qu’il faut installer la mise à jour manuellement via une clé USB contenant le fichier ISO de l’OS. De là, il « suffit » d’effectuer une réparation du système d’exploitation.
A lire aussi – Windows 11 : la mise à jour est gratuite pour les utilisateurs de Windows 7 et 8, comment la télécharger
Enfin, certains ne peuvent même pas mettre leur machine à jour, puisque le code erreur 0x800f0922 apparaît. Ce dernier oblige l’utilisateur à rebooter son PC lors de l’installation (qui ne s’effectue jamais) au risque de corrompre ses fichiers.
Ces problèmes semblent marginaux, mais de plus en plus d’utilisateurs disent en être victimes. Pour le moment, Microsoft n’a pas encore réagi, mais nul doute que la firme de Redmond soit au courant du problème. On espère un patch correctif très prochainement, ces soucis pouvant sérieusement affecter l’expérience.
A noter que Windows 11, qui a lui aussi reçu sa mise à jour de mai, est également victime de bugs, moins sérieux toutefois. En effet, de très nombreux utilisateurs ont remarqué une dégradation de leur débit Internet lorsqu’ils activaient leur VPN. Là encore, ce souci devrait être réglé d’ici peu.
Source : Windows Latest
Windows 11 a récemment bénéficié d'une mise à jour de sécurité importante, mais qui a des effets indésirables sur les utilisateurs de VPN.
La mise à jour cumulative KB5026372 pour Windows 11 a apporté quelques nouveautés et des correctifs de sécurité, mais vient avec son lot de problèmes. Les utilisateurs de VPN sont notamment affectés.
Sur la base de témoignages sur ses forums et sur Reddit, Windows Latest rapporte que la mise à jour provoque plusieurs soucis avec les connexions VPN, notamment celles utilisant le standard L2TP/IPsec, entre autres très utilisé pour accéder aux serveurs d'entreprise à distance.
Des utilisateurs se plaignent d'une baisse drastique de leurs débits descendants et montants depuis l'installation de cette nouvelle version de Windows 11. Certains affirment même être incapables de télécharger des fichiers depuis un serveur par le biais du protocole SFTP.
D'autres soucis ont été remontés, comme l'activation inopportune de BitLocker, causant une boucle de réparation automatique pouvant nécessiter jusqu'à une réinitialisation complète du système et une réinstallation de Windows. L'arrêt automatique de Windows au lieu d'un redémarrage a aussi été constaté à la suite de l'installation de mises à jour.
Windows 11 KB5026372 est une mise à jour obligatoire, si bien qu'elle s'est probablement installée automatiquement sur votre PC. Vous pouvez suspendre ce type de mises à jour pour un certain temps dans Windows Update, mais pas indéfiniment. Vous pouvez en tout cas espérer que le problème soit résolu avant qu'elle ne vous soit imposée.
Si l'update est déjà installé sur votre machine, vous avez la possibilité de revenir à une version précédente de Windows afin de mettre un terme aux problèmes que vous rencontrez.
Dans Windows Update, cliquez sur « Historique de mise à jour », scrollez vers le bas de la page, puis sélectionnez « Désinstaller des mises à jour ». Celles que vous pouvez supprimer de votre système s'affichent alors. Cherchez la KB5026372 dans la liste et cliquez sur « Désinstaller ».
Windows 11 est la toute nouvelle mouture du système d'exploitation estampillé Microsoft. En plus d'une nouvelle interface, cette itération intègre bon nombre de nouveautés qui en font plus qu'une simple mise à jour. Microsoft signe ici une base solide pour l'avenir de Windows. À installer sans plus tarder si votre PC est compatible !
Windows 11 est la toute nouvelle mouture du système d'exploitation estampillé Microsoft. En plus d'une nouvelle interface, cette itération intègre bon nombre de nouveautés qui en font plus qu'une simple mise à jour. Microsoft signe ici une base solide pour l'avenir de Windows. À installer sans plus tarder si votre PC est compatible !
Source : Windows Latest
Microsoft Flight Simulator est disponible sur Xbox Series X, Xbox Series S et PC et vous êtes nombreux à explorer l’immensité du monde que ...