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Thursday, November 30, 2023

CANADA CARBON FAIT UNE MISE À JOUR SUR SON ... - Zonebourse.com

Communiqué officiel de CANADA CARBON INC.

Toronto, Ontario, Canada, 30 nov. 2023 (GLOBE NEWSWIRE) -- Canada Carbon Inc. (la « Société » ou « Canada Carbon » ou (" CCB "), (TSX-V:CCB), (FF:U7N1) est heureuse d'annoncer qu'une importante minéralisation graphitique a été observée au cours de son programme de forage en cours sur la propriété Asbury (« la propriété »). La société souhaite profiter de cette occasion pour fournir une mise à jour générale concernant le programme d'exploration sur la propriété. Les travaux d'exploration en cours comprennent le forage, la réalisation d'un calcul de ressources conforme au Règlement 43-101, des essais métallurgiques et le développement d'une signature géochimique. Les informations fournies par les travaux d'exploration permettront à la société de procéder à une étude économique préliminaire qui devrait être achevée en 2024.

Programme de forage
La phase 1 du programme de forage a débuté le 16 octobre et se terminera le 30 novembre 2023. Le programme de forage actuel teste une anomalie de conducteur plié, située sur le côté nord-est d'une anomalie magnétique régionale. La zone forée est principalement située sur le flanc nord du conducteur localement plié. Les travaux de forage précédents ont été réalisés principalement sur le flanc sud du pli.

La phase 2 du programme de forage débutera au premier trimestre 2024, lorsque les autorisations auront été délivrées pour des trous de forage supplémentaires. Les prochains trous à autoriser et à forer sont principalement situés du côté sud du conducteur électromagnétique. Les résultats actuels modifieront probablement le programme d'exploration pour cibler l'extension latérale des trous forés au cours du programme actuel afin d'optimiser le calcul des ressources futures.

Bien que le programme actuel confirme la minéralisation sur le flanc nord de l'anomalie conductrice, les travaux futurs continueront d'explorer les deux flancs de l'anomalie conductrice. La société continuera d'étendre les activités de forage intercalaire afin de relier la minéralisation entre la zone d'exploration actuelle et l'ancienne mine d'Asbury. Les archives historiques confirment que plus de 875 000 tonnes de graphite (avec une teneur moyenne de 8,14 % et une teneur de coupure de 6 %) ont été extraites de la mine sur une extension de 250 mètres. Le conducteur a une longueur d'environ 5 km et la société espère pouvoir définir la minéralisation sur l'ensemble de l'anomalie du conducteur.

Observations des carottes
La diagraphie du programme de forage actuel nous a permis d'observer de multiples intersections intéressantes qui seront probablement incorporées dans une future mise à jour des ressources. Les observations actuelles indiquent que la minéralisation graphitique se trouve des deux côtés de l'anomalie du conducteur plié. Les résultats seront fournis dès que les analyses de laboratoire seront terminées, et une interprétation complète de ces résultats sera divulguée immédiatement après.

Tests métallurgiques
Canada Carbon a terminé l'échantillonnage en vrac et a expédié ces échantillons à SGS Canada dans le but d'effectuer des tests métallurgiques. Trois (3) échantillons différents ont été prélevés et livrés :

  1. Du matériel à faible teneur (moins de 3% Cg) provenant des travaux de forage 2022 (1/4 de carotte fendue).
  2. Matériau à haute teneur (plus de 3% Cg) provenant des travaux de forage de 2022 (1/4 de carotte fendue).
  3. Affleurement historique à haute teneur situé à proximité de la mine Asbury.

Plus de 50 kg de matériel de chaque style de minéralisation ont été échantillonnés et envoyés aux installations de SGS à Lakefield. Les différents échantillons seront analysés et testés selon le protocole suivant :

      1.   Préparation des échantillons
                     a)   Les échantillons seront broyés, mélangés et divisés en charges.
                     b)   Un composite de chaque échantillon sera réalisé.

      2.   Caractérisation de l'alimentation

                     c)   Une analyse de tête sera effectuée sur les 3 échantillons, y compris une série complète d'éléments analytiques.
                     d)   La microscopie optique permettra de visualiser les occurrences de graphite.

      3.   Essai de broyabilité

                     e)   Un test de broyabilité au broyeur à billes Bond sera effectué sur les échantillons.

      4.   Test de flottation
                     f)   Un test initial sera effectué sur les 3 échantillons en tant que partie d'un composite.
                     g)   Une évaluation de la flottation éclair, de la flottation grossière et de la flottation par balayage sera effectuée.
                     h)   Des tests de performance des nettoyeurs primaires et secondaires seront effectués.
                     i)   Des analyses supplémentaires seront effectuées sur le produit final.

Les résultats sont attendus pour la fin du mois de février 2024 et seront divulgués dès leur réception.

Calcul des ressources
SGS a été mandaté pour effectuer un calcul des ressources minérales conformément à l'instrument national 43-101 à la suite du programme de forage réalisé en 2022. La visite de terrain par la personne qualifiée de SGS a été complétée le 14 novembre 2023. Cet état initial des ressources devrait être terminé d'ici le 31 décembre 2023. Toute nouvelle minéralisation découverte sera incluse dans une future mise à jour de l'état des ressources.

« Le programme de forage de l'automne 2022 et l'activité d'exploration actuelle indiquent à la société que la zone nord-est de la propriété Asbury contient une minéralisation importante et étendue. La société a l'intention de tester davantage le conducteur situé entre l'ancienne mine d'Asbury et la zone actuellement en cours de forage. Compte tenu des volumes, de la teneur moyenne et de la teneur de coupure du minerai précédemment extrait de l'ancienne mine d'Asbury, le tout dans une extension de 250 mètres, nous ne pouvons nous empêcher d'être extrêmement enthousiastes quant au potentiel de minéralisation sur une anomalie de 5 km. Les informations obtenues à l'automne 2022, le programme de forage actuel et le programme d'essais métallurgiques permettront à la société de procéder à une étude économique préliminaire sur la propriété, qui sera achevée en 2024. » a déclaré Ellerton Castor, président-directeur général de Canada Carbon.

S’il vous plaît cliquez ici pour voir l’image

Personne qualifiée
Ce communiqué de presse a été préparé par Steven Lauzier, P.Geo, OGQ1430, qui est une personne qualifiée au sens de l'instrument national 43-101, et qui a revu et approuvé les informations géologiques fournies dans ce communiqué de presse.

CANADA CARBON INC.
“Ellerton Castor”

Président-Directeur Général
Coordonnées
Demandes de renseignements: info@canadacarbon.com
T: (905) 407-1212

DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Ce communiqué de presse contient des déclarations qui constituent des " informations prospectives " (" forward-looking information ") au sens de la législation canadienne applicable en matière de valeurs mobilières. Toutes les déclarations, autres que les déclarations de faits historiques, sont des informations prospectives et sont fondées sur des attentes, des estimations et des projections à la date du présent communiqué. Toute déclaration qui traite de prédictions, d'attentes, de croyances, de plans, de projections, d'objectifs, d'hypothèses, d'événements ou de performances futurs (en utilisant souvent, mais pas toujours, des expressions telles que "s'attend à" ou "ne s'attend pas à", "est attendu", "anticipe" ou "n'anticipe pas", "planifie", "budget", "prévu", " prévoit ", " estime ", " croit " ou " a l'intention " ou des variantes de ces mots et expressions ou le fait d'affirmer que certaines actions, certains événements ou certains résultats " peuvent " ou " pourraient " se produire ou être atteints) ne sont pas des déclarations de faits historiques et peuvent constituer des informations prospectives. Les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué de presse comprennent des déclarations concernant l'offre, y compris l'utilisation du produit. En divulguant les informations prospectives contenues dans le présent communiqué de presse, la société a formulé certaines hypothèses. Bien que la société estime que les attentes reflétées dans ces informations prospectives sont raisonnables, elle ne peut garantir que les attentes de ces informations prospectives se révéleront exactes. Des risques connus et inconnus, des incertitudes et d'autres facteurs peuvent faire en sorte que les résultats réels et les événements futurs diffèrent sensiblement de ceux exprimés ou sous-entendus par ces informations prospectives. Ces facteurs comprennent, sans s'y limiter, la conformité à de nombreuses réglementations gouvernementales, les lois et réglementations nationales et étrangères ayant un impact négatif sur les activités et les résultats d'exploitation de la société, l'impact du COVID-19 et les incertitudes générales d'ordre commercial, économique, concurrentiel, politique et social. Par conséquent, les lecteurs ne doivent pas se fier indûment aux informations prospectives contenues dans ce communiqué de presse. Sauf si la loi l'exige, la société n'a pas l'intention et n'assume aucune obligation de mettre à jour ou de réviser les informations prospectives pour refléter les résultats réels, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d'événements futurs, de modifications des hypothèses, de changements dans les facteurs affectant ces informations prospectives ou autrement.

La Bourse de croissance TSX et son fournisseur de services de réglementation (tel que ce terme est défini dans les politiques de la Bourse de croissance TSX) n'assument aucune responsabilité quant à la pertinence ou à l'exactitude du présent communiqué.


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Correspondance de la firme en évaluation CÉVIMEC-BTF sur le ... - Ville de Varennes

Plusieurs propriétaires varennois recevront bientôt par la poste une correspondance de l’entreprise Cévimec-BTF.

À cet effet, nous tenons à rassurer les destinataires qu’il s’agit d’une entreprise mandatée par la Ville dans le but de mettre à jour les évaluations de chaque immeuble.

Afin que les évaluateurs puissent dresser un portrait juste de la valeur réelle de votre propriété, nous vous demandons de remplir le formulaire joint à cette correspondance.

Pour toute question supplémentaire, vous êtes invité à communiquer avec l’entreprise Cévimbec-BTF par courriel à l’adresse cevimec.drummondville@cevimecbtf.com ou par téléphone au 819 477-9515 poste 0.

La Loi sur la fiscalité municipale établit que tout document rassemblé ou préparé par l’évaluateur en vue de l’équilibration d’un rôle foncier est confidentiel (articles 18, 78 et 79).

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Netflix demande au CRTC de ne pas imposer de paiement obligatoire - La Presse

(Gatineau) Le géant de plateformes de diffusion en continu Netflix affirme que le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) devrait reconnaître le rôle qu’il joue déjà dans le financement de l’industrie canadienne de la radiodiffusion et rejeter les appels visant à exiger un paiement supplémentaire de la part de l’entreprise.

Mais si le régulateur fédéral exigeait que les diffuseurs étrangers contribuent financièrement au système de contenu canadien, il affirme que ce fardeau ne devrait pas dépasser 2 % des revenus annuels, comme dans d’autres juridictions.

Netflix a comparu jeudi à une audience qui s’inscrit dans le cadre des consultations publiques du CRTC en réponse à la Loi sur la diffusion continue en ligne, qui a reçu la sanction royale en avril.

La législation, anciennement connue sous le nom de projet de loi C-11, vise à mettre à jour la loi fédérale pour obliger les plateformes numériques à contribuer au contenu canadien et à le promouvoir.

L’organisme de surveillance étudie la possibilité d’exiger des diffuseurs qu’ils apportent une contribution initiale au système de contenu canadien afin d’aider à uniformiser les règles du jeu pour les entreprises locales, qui sont déjà tenues de soutenir le contenu canadien.

Le directeur des politiques publiques de Netflix au Canada, Stéphane Cardin, a déclaré à la commission que la plateforme investit déjà directement dans le contenu canadien en finançant des productions locales, et qu’un prélèvement supplémentaire pourrait « entraîner le déplacement de certains investissements ».

« Ce que nous dépensons actuellement en partenariats pour l’avancement de carrière des créateurs canadiens constitue un engagement important », a fait valoir M. Cardin aux panélistes, ajoutant que les dépenses totales de Netflix dans le cadre de ces accords dépassent 30 millions.

« Nous dépensons plus pour cette activité au Canada que dans n’importe quel autre pays au monde et nous avons constaté des retombées fructueuses et significatives de ces partenariats. »

M. Cardin a indiqué que ces initiatives soutiennent le développement professionnel, la formation et le mentorat de créateurs canadiens issus de milieux ethnoculturels et en quête d’équité.

Il a souligné que Netflix, avec une équipe de près de 800 personnes au Canada, a dépensé plus de 5 milliards dans des productions canadiennes au cours des cinq dernières années.

« C’est de l’argent qui va entre les mains de créateurs, d’équipes et d’entreprises locales canadiennes », a-t-il souligné.

Il a exhorté le CRTC à faire preuve de flexibilité dans l’élaboration de règles permettant aux entreprises numériques de soutenir la radiodiffusion canadienne, plutôt que de les obliger à subventionner certains fonds disponibles pour les acteurs locaux.

Les principaux radiodiffuseurs du Canada ont exprimé leur soutien tout au long de l’audience du CRTC, qui en est à sa deuxième semaine, à la proposition du régulateur d’exiger une contribution initiale des géants étrangers des plateformes de diffusion en continu.

Ils affirment que de tels fonds sont nécessaires, voire attendus, pour aider à compenser une crise financière qui a particulièrement touché leurs services d’information.

La présidente du CRTC, Vicky Eatrides, a déclaré que son organisation reconnaît les investissements canadiens réalisés par Netflix, mais que la législation d’Ottawa donne à l’organisme de réglementation le mandat d’agir.

« Nous avons entendu les radiodiffuseurs traditionnels […] dire qu’ils étaient en difficulté et que nous avions besoin de plus d’argent dans le système, a-t-elle déclaré. Nous vous entendons sur les investissements. Nous essayons de déterminer comment nous pouvons mettre en place le cadre dont nous avons besoin. »

Un fonds pour l’information

Certains radiodiffuseurs canadiens ont proposé la création d’un fonds d’information dédié, qui prélèverait une partie de l’argent collecté auprès des diffuseurs et l’utiliserait pour compenser les récentes pertes de revenus de leurs divisions de médias d’information.

Interrogé sur cette idée, M. Cardin a répondu que cela devrait être une mesure temporaire si elle est adoptée, mais il a ajouté que Netflix ne croit pas que la loi canadienne oblige tous les acteurs du système de radiodiffusion à contribuer aux informations.

« Si vous deviez imposer une contribution de base initiale, à notre avis, nous devrions continuer à jouer sur notre terrain, dans le type de programmes que nos membres s’attendent à voir sur Netflix », a-t-il déclaré.

Il a encouragé le régulateur à « examiner attentivement les conséquences imprévues de l’imposition d’une contribution de base initiale déraisonnable » au cours de ses consultations.

« Notre expérience de travail à travers le monde nous a démontré que les pays avec le moins de contraintes réglementaires et la plus grande stabilité pour investir dans un contenu qui ravira nos membres sont les marchés du divertissement les plus innovants », a soutenu M. Cardin.

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Wednesday, November 29, 2023

Trois conseils pour bien vous préparer à un changement d'emploi - TVA Nouvelles

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Trois conseils pour bien vous préparer à un changement d'emploi  TVA Nouvelles
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TET - Nouvelle exigence de révision périodique des salaires ... - Conseil de la transformation alimentaire du Québec

Les employeurs seront bientôt tenus de mettre à jour annuellement le salaire des travailleurs étrangers temporaires afin de s’assurer qu’il n’est pas inférieur au salaire en vigueur pour la profession et la région où ces travailleurs sont employés.

Cette mise à jour doit s’effectuer pendant toute la période de travail qui peut durer jusqu’à trois ans, selon le volet du Programme.

Cette exigence entrera en vigueur le 1er janvier 2024, suite au dépôt d’une nouvelle demande d’EIMT.

Révision annuelle

Les employeurs devront appliquer le salaire courant dès le début de la période d’emploi d’un travailleur étranger temporaire et réviser ce salaire chaque année, au plus tard le 1er janvier de l’année suivante, afin de s’assurer qu’il n’est pas inférieur au salaire en vigueur pour la profession et la région où ces travailleurs sont employés. Par conséquent, il est possible que le salaire courant applicable soit différent du salaire indiqué sur l’EIMT approuvée.

La définition du salaire en vigueur au Programme reste le salaire le plus élevé de l'un ou l'autre des deux:

  • Le salaire médian du Guichet-Emplois*
  • Le salaire se situant sur l'échelle de rémunération versée aux employés qui exercent la même profession, au même endroit et possédant des compétences et des années d'expérience similaires

Pour les postes qui sont au Québec, les instructions du ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI) continuent d’avoir préséance.

Les taux de salaire du Guichet-Emplois sont mis à jour, généralement en novembre de chaque année. Les employeurs seront informés de cette mise à jour et de la nécessité de respecter cette nouvelle exigence d’ici le mois de janvier suivant.

Il est important de noter que le salaire du travailleur étranger temporaire ne peut être inférieur à celui qui figure sur l’EIMT.

Les employeurs qui ne mettent pas les salaires à jour en conséquence peuvent faire l'objet de sanctions en vertu du régime de conformité du programme des TET, y compris des pénalités monétaires et l'interdiction d'utiliser le programme.

Postes syndiqués

Les employeurs qui embauchent des travailleurs étrangers temporaires pour des postes syndiqués doivent offrir les mêmes taux de salaire et les mêmes formes de rémunération que ceux établis en vertu de la convention collective.

Si le salaire courant affiché sur le Guichet-Emplois est supérieur au salaire stipulé dans la convention collective, l’employeur est autorisé à payer le taux de salaire de la convention.

Veuillez noter que toute cette information sera disponible en ligne sous peu sur le site web du Programme des TET.

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Google Chrome : n’attendez pas pour télécharger la dernière mise à jour, elle corrige une énorme faille de sécurité - Phonandroid

Google a fait savoir à tous ses utilisateurs que la dernière mise à jour de sécurité de Chrome corrige une grave faille de sécurité. La firme n’a d’ailleurs pas précisé les risques encourus par celle-ci, de peur que des individus malveillants en profitent pour l’exploiter sur les appareils n’ayant pas encore installé la dernière version du navigateur.

Google Chrome
Crédit : 123RF

Google Chrome étant le navigateur le plus populaire au monde, il n’est pas rare que les pirates cherchent — et trouvent — de nouvelles failles de sécurité à exploiter. Google en a bien conscience et, heureusement, parvient à dénicher certaines de ses failles avant les hackers. Appelées failles zero-day, ces vulnérabilités sont d’une importance capitale, devant être corrigées au plus vite.

Régulièrement, Google déploie donc de nouvelles mises à jour de sécurité pour refermer, entre autres, ces brèches dans la protection de son navigateur. La dernière version ne fait pas exception à la règle, puisque la firme demande expressément à ses utilisateurs de l’installer sans tarder. La build 119.0.6045.200 de Chrome sur Windows (et 119.0.6045.199 sur Mac et Linux) est d’ores et déjà disponible au téléchargement.

Comment mettre Chrome à jour pour vous protéger contre les failles de sécurité

À noter que l’on sait généralement quels risques encourent les utilisateurs qui ne mettraient pas à jour leur navigateur pour corriger une faille. Cette fois, Google refuse de dévoiler la teneur de la vulnérabilité tant que la dernière mise à jour n’a pas été téléchargée suffisamment de fois, ce qui donne un indice sur la gravité de cette dernière.

Sur le même sujet — Chrome : le partage des mots de passe arrive, voici comment l’activer en avance

« L’accès aux détails des bugs et aux liens peut être restreint jusqu’à ce qu’une majorité d’utilisateurs soit mise à jour avec un correctif », écrit ainsi Google dans son billet de blog. « Nous maintiendrons également des restrictions si le bug existe dans une bibliothèque tierce dont dépendent d’autres projets, mais qui n’a pas encore été corrigée. »

Voici comment mettre à jour votre navigateur Chrome :

  1. Ouvrez le menu à trois points en haut à droite de votre écran
  2. Rendez-vous dans Aide > À propos de Google Chrome
  3. La mise à jour va se télécharger automatiquement
  4. Cliquez sur le bouton Relancer pour finaliser l’installation

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Google Chrome : n’attendez pas pour télécharger la dernière mise à jour, elle corrige une énorme faille de sécurité - Phonandroid

Google a fait savoir à tous ses utilisateurs que la dernière mise à jour de sécurité de Chrome corrige une grave faille de sécurité. La firme n’a d’ailleurs pas précisé les risques encourus par celle-ci, de peur que des individus malveillants en profitent pour l’exploiter sur les appareils n’ayant pas encore installé la dernière version du navigateur.

Google Chrome
Crédit : 123RF

Google Chrome étant le navigateur le plus populaire au monde, il n’est pas rare que les pirates cherchent — et trouvent — de nouvelles failles de sécurité à exploiter. Google en a bien conscience et, heureusement, parvient à dénicher certaines de ses failles avant les hackers. Appelées failles zero-day, ces vulnérabilités sont d’une importance capitale, devant être corrigées au plus vite.

Régulièrement, Google déploie donc de nouvelles mises à jour de sécurité pour refermer, entre autres, ces brèches dans la protection de son navigateur. La dernière version ne fait pas exception à la règle, puisque la firme demande expressément à ses utilisateurs de l’installer sans tarder. La build 119.0.6045.200 de Chrome sur Windows (et 119.0.6045.199 sur Mac et Linux) est d’ores et déjà disponible au téléchargement.

Comment mettre Chrome à jour pour vous protéger contre les failles de sécurité

À noter que l’on sait généralement quels risques encourent les utilisateurs qui ne mettraient pas à jour leur navigateur pour corriger une faille. Cette fois, Google refuse de dévoiler la teneur de la vulnérabilité tant que la dernière mise à jour n’a pas été téléchargée suffisamment de fois, ce qui donne un indice sur la gravité de cette dernière.

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« L’accès aux détails des bugs et aux liens peut être restreint jusqu’à ce qu’une majorité d’utilisateurs soit mise à jour avec un correctif », écrit ainsi Google dans son billet de blog. « Nous maintiendrons également des restrictions si le bug existe dans une bibliothèque tierce dont dépendent d’autres projets, mais qui n’a pas encore été corrigée. »

Voici comment mettre à jour votre navigateur Chrome :

  1. Ouvrez le menu à trois points en haut à droite de votre écran
  2. Rendez-vous dans Aide > À propos de Google Chrome
  3. La mise à jour va se télécharger automatiquement
  4. Cliquez sur le bouton Relancer pour finaliser l’installation

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Tuesday, November 28, 2023

Prime au bilinguisme : plus d'argent, plus de langues - Alliance de la Fonction publique du Canada

Donnant suite à la dernière ronde de négociations, le Conseil du Trésor a lancé en octobre l’examen de la Directive sur la prime au bilinguisme. Les syndicats membres du Conseil national mixte, dont l’AFPC, ont jusqu’en avril 2024 pour lui faire part de leurs commentaires.  

Le temps est venu de mettre à jour la Directive et d’en élargir sa portée. Les critères d’admissibilité à la prime de bilinguisme n’ont pas été modifiés depuis 1993. Quant au montant de la prime, soit 800 $ par année, il n’a pas été majoré depuis 1977. Compte tenu du temps et de tous les efforts que les fonctionnaires fédéraux consacrent à l’amélioration de leurs compétences linguistiques, 45 ans sans augmentation, c’est carrément insultant. 

L’AFPC revendique donc trois grands changements : 

  1. une augmentation substantielle de la prime. Indexée à l’inflation, la prime au bilinguisme s’élèverait aujourd’hui à un peu plus de 3 000 $

  1. un mécanisme pour augmenter la prime chaque année. Le coût de la vie augmente chaque année. La prime de bilinguisme devrait en faire autant; 

  1. advenant l’ajout d’autres langues que le français et l’anglais dans la Loi sur les langues officielles (LLO), des langues autochtones par exemple, celles-ci devraient être prises en compte dans la Directive. 

Le bilinguisme devrait être une qualité recherchée. L’employeur doit trouver des façons de consolider la Loi et faire en sorte qu’il soit plus facile pour nos membres de travailler dans la langue de leur choix et de parfaire leurs compétences en langue seconde.  

Selon la LLO, le français et l’anglais sont les deux langues officielles de travail dans la fonction publique fédérale. Si le gouvernement tient vraiment à créer une fonction publique dynamique, diversifiée et bilingue, il doit offrir un environnement où les fonctionnaires peuvent non seulement travailler dans la langue de leur choix, mais où on les encourage à le faire.  

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Fermeture de routes : des villes veulent avoir leur mot à dire - Radio-Canada.ca

Des municipalités du Nord-Est ontarien veulent mettre à jour les procédures lors de fermetures d'urgence des routes, pour cause d’accident routier ou de mauvaises conditions météorologiques, car elles ont un impact significatif sur les communautés, surtout lorsqu'elles durent longtemps.

Selon le ministère des Transports de l’Ontario, la Police provinciale de l’Ontario détient à elle seule l’autorité de fermer une route, et n’a aucune obligation de consulter les communautés avoisinantes.

Par contre, pour les municipalités de la route 11, les conséquences de ces fermetures de route se font ressentir de plusieurs façons.

Les camionneurs n’ont pas d’autres options que d’attendre la réouverture de la route, ce qui peut mener à d’importants bouchons de circulation dans les villages.

Pour le maire de Hearst Roger Sigouin, cette situation constitue une crise, alors qu’une fermeture de route amène énormément de camions en ville.

À l’ouest de Hearst, c’est deux heures et demie avant d’arriver à Greenstone. Il n’y a rien, aucune essence, aucun signal cellulaire.

Une citation de Roger Sigouin, maire de Hearst

Souvent, ces camions peuvent même bloquer le chemin qui mène à l’hôpital.

De plus, les fermetures de route peuvent durer plusieurs heures, voire des jours, ce qui peut compliquer le travail déjà dangereux des camionneurs.

Un groupe de réflexion mis en place

Ce problème est au programme de l’Association des municipalités du Nord-Est de l’Ontario (AMNEO) depuis des années.

Cette association, qui représente les intérêts des communautés du corridor de la route 11, a organisé la semaine dernière une rencontre avec le ministère du Transport et la PPO, pour poursuivre la réflexion sur les fermetures de route et sur l’impact de ces dernières sur les municipalités.

Peter Politis, maire de Cochrane et président de l'AMNEO, affirme que ces discussions ont été productives. Nous travaillons tous pour les mêmes gens et nous allons résoudre ce problème ensemble.

Si cette consultation initiale n’a pas donné de résultat tangible ou de mesures concrètes à mettre en place, le message de l'AMNEO a été clair : les municipalités ne participent pas assez au processus décisionnel lorsque la PPO ferme une route.

Peter Politis avec une chemise bleue.

Le maire de Cochrane Peter Politis (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Francis Beaudry

On ne tente pas de réinventer la roue, souligne M. Politis. En fin de compte, il existe déjà un processus robuste pour la gestion des urgences, il y a un ministère attitré et les gens impliqués savent très bien faire leur travail.

Ça n’a aucun sens que nous n’utilisions pas ce même processus, celui que l’on connaît déjà.

Une citation de Peter Politis, maire de Cochrane et président de l'AMNEO

Le maire de Cochrane ajoute qu’il ne pointe pas du doigt les professionnels qui gèrent les situations d’urgence, comme un feu de forêt ou une inondation, mais il voudrait simplement avoir accès à cette expertise lorsqu’il est question de fermetures de routes.

Un aspect humain à tenir compte

Pour Roger Sigouin, la situation dépasse sa ville.

Il se désole pour tous les camionneurs qui sont obligés d’attendre plusieurs heures avant de pouvoir reprendre la route.

Plusieurs pistes de solution, comme la création de meilleurs espaces de repos et de stationnement pour les camionneurs, sont possibles, selon le maire.

On veut être capable de donner un service à [ces gens] qui sont pris dans leur camion pendant une journée, deux jours, parfois même trois jours dit-il, en ajoutant que les camionneurs qui ne sont pas assez bien reposés finissent souvent par être la cause d’accidents.

Roger Sigouin accorde une entrevue.

Le maire de Hearst, Roger Sigouin (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Bienvenu Senga

Mais Roger Sigouin soutient que la première étape, la plus importante, est d’avoir la collaboration des autres paliers de gouvernement dans ce dossier.

Je pense que la PPO fait tout son possible, le MTO fait tout son possible pour que ça marche, mais il reste qu’en fin de compte, la solution, c’est que la province embarque.

Une citation de Roger Sigouin, maire de Hearst

Même discours de la part de Peter Politis, qui est optimiste à la suite de cette première rencontre entre tous les partis concernés.

Infolettre d’ICI Ontario

Abonnez-vous à l’infolettre d’ICI Ontario.

Je ne sais pas si je peux dire que l’on s’entend sur tous les détails, explique-t-il, mais je crois que tout le monde comprend qu'une meilleure solution est possible, et nous tentons d'avancer ensemble maintenant.

Les discussions entamées la semaine dernière sur l’impact des fermetures d’urgence ne représentent que la pointe de l’iceberg dans le dossier.

L’enjeu de la sécurité routière reste prioritaire pour la région, alors que l’hiver ne fait que commencer.

Établissements de santé
Tout sur le 3e lien Québec-Lévis
Syndicalisme
Faits divers
Proche-Orient, l’éternel conflit
Syndicalisme
COP28 : sommet sur le climat à Dubaï
Tout sur le 3e lien Québec-Lévis
Établissements de santé

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La Programmation loisirs et culture hiver 2024 est maintenant ... - Ville de Shawinigan

La Programmation loisirs et culture hiver 2024 est maintenant disponible!

Inscriptions en ligne aux activités dès le 7 décembre
La Programmation loisirs et culture hiver 2024 est maintenant disponible!

La Ville de Shawinigan informe les citoyens que la période d’inscription pour les activités de loisirs et de culture pour la session hiver 2024 se déroulera dès le jeudi 7 décembre, 8 h 30, en ligne au shawinigan.ca/programmation. Les horaires des activités de loisirs sont d’ailleurs disponibles sur le site Internet depuis aujourd’hui.

Les résidents de Saint-Boniface (municipalité ayant une entente avec la Ville de Shawinigan) pourront s’inscrire du 12 au 14 décembre, puis les non-résidents, les 13 et 14 décembre.

La Programmation loisirs et culture hiver 2024 est disponible dès maintenant au shawinigan.ca/programmation. Des copies imprimées sont distribuées par la poste dans la semaine du 27 novembre dans les résidences de Shawinigan et dans les bibliothèques.

Soyez prêts pour la période d’inscription!
Les citoyens sont invités à se rendre dès maintenant sur le portail en ligne, pour créer leur dossier famille ou le mettre à jour, puis à bien mémoriser leur code d’utilisateur et leur mot de passe. Les citoyens ayant besoin d’un soutien technique peuvent contacter le Service aux citoyens au 819 536-7200 ou par courriel à information@shawinigan.ca.

Inscription aux activités offertes par les bibliothèques
Cet hiver, les bibliothèques de Shawinigan offrent plusieurs activités aux petits et grands : ateliers et conférences en ligne, prêt d’instruments de musique, trousses à emprunter et bien plus! L’inscription aux activités est obligatoire et peut s’effectuer par téléphone dans chacune des bibliothèques ou par courriel au biblio@shawinigan.ca. Rappelons que les résidents de Saint Boniface (dans le cadre de l’entente) ont aussi accès gratuitement aux services et aux activités des bibliothèques de Shawinigan.

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Source :
Andrée-Anne Trudel
Service des communications et des relations avec les citoyens
Ville de Shawinigan
819 536-7200 | information@shawinigan.ca

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Monday, November 27, 2023

Des fonctionnaires blâmés dans un rapport de la vérificatrice ... - Radio-Canada.ca

Dans un rapport, la vérificatrice générale de la Ville d’Ottawa, Nathalie Gougeon, met en lumière des manquements de la part de fonctionnaires municipaux dans le processus entourant l’approbation d’un déblai-remblai dans une plaine inondable pour le projet immobilier The Conservancy.

De la terre a ainsi été déplacée d’une plaine inondable le long de la rivière Jock vers un palier supérieur du terrain du promoteur immobilier Cavin, dans le quartier Barrhaven, sans que le conseil municipal en soit informé.

Nous croyons qu’il y a eu une violation importante des politiques internes et qu’il y a eu une tentative d’influencer le processus. Pour moi, la situation est alarmante. C’est pourquoi nous présentons ce rapport, a indiqué Nathalie Gougeon lors du dépôt du rapport devant le Comité de vérification de la Ville, lundi.

La vérificatrice générale de la Ville d'Ottawa, Nathalie Gougeon, derrière un micro.

La vérificatrice générale de la Ville d'Ottawa, Nathalie Gougeon (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Jean Delisle

Le document fait suite à des signalements soumis à la Ligne directe de fraude et d’abus de la Ville pour des faits ayant eu lieu entre 2018 et 2021.

Le projet The Conservancy partiellement en plaine inondable

Le projet immobilier The Conservancy vise l’aménagement de résidences dans le quartier Barrhaven. Une partie du terrain est situé dans une plaine inondable, qui est désignée comme une zone de conservation .

Aucun aménagement n’est habituellement permis par la Ville dans ce type de zone, en raison des risques pour la santé et la sécurité des citoyens et pour l’environnement, comme l’explique la vérificatrice générale dans son rapport.

Carte du projet immobilier The Conservancy.

The Conservancy est un projet immobilier situé le long de la rivière Jock, dont une partie est située en plaine innondable.

Photo : Caivan

Sachant cela, le promoteur a tenté il y a quelques années de faire modifier la délimitation de la plaine inondable pour pouvoir faire des constructions plus près de la rivière Jock.

Pour revoir cette délimitation, Cavin s’est adressé à l’Office de protection de la nature de la vallée Rideau (OPNVR) chargée de ce type de demande.

Or, sa demande de révision de la délimitation a été refusée.

La vérificatrice générale explique que des discussions ont eu lieu entre la Ville et l’OPNVR à la suite desquelles ils ont recommandé de ne pas mettre à jour, pour l’instant, la cartographie de la plaine inondable de la rivière Jock, puisque cette mise à jour n’aurait pas pour effet de modifier considérablement la délimitation de la plaine inondable.

Le premier manquement de la Ville

Malgré ce refus de modifier la délimitation de la plaine inondable, en 2019, l’ex-maire d’Ottawa, Jim Watson, et l’ex-directeur général de la planification, de l’immobilier et du développement économique de la Ville ont adressé une lettre à l'office de protection de la nature.

Ils y soulignent l'importance de compléter le projet à Barrhaven et de prioriser une mise à jour de la cartographie de la plaine inondable.

La vérificatrice générale soutient que la lettre ne concordait pas avec les conclusions tirées par le personnel de la Ville et par l’OPNVR. Elle ajoute que le conseil municipal n’a pas non plus été mis au courant qu’une mise à jour de la cartographie n’était pas recommandée, ce qui est un manquement.

Le deuxième manquement

Le promoteur immobilier Cavin, face au refus de revoir la délimitation de la plaine inondable, a demandé de déblayer et de remblayer le site à l’office de conservation.

Dans sa demande à l’OPNVR, il dit vouloir remblayer 407 000 mètres cubes de terre pour remplir une partie de son terrain en plaine inondable, mais seulement en déblayer 116 000 mètres cubes le long de la rivière.

Traditionnellement, lorsqu’un volume spécifique de sol est remblayé dans la plaine inondable, il faut déblayer ou excaver le même volume, explique la vérificatrice générale.

Une carte montrant les zones de déblai et de remblai sur le terrain du promoteur Cavin.

Les zones visées par le demande de déblai-remblai du promoteur immobilier Cavin.

Photo : J.F Sabourin et Associés

La demande de déblai-remblai du promoteur a donc soulevé des inquiétudes du côté de l’office de la nature, car il s’agissait d’une importante quantité de terre.

Voyant cela, l’office a demandé à la Ville une lettre d'approbation.

En 2019, l’ex-directeur des Services de planification a répondu à l’OPNVR dans une lettre. Il y indique que Nous voulons renforcer le soutien que le conseil a exprimé à l'égard de ce dossier et recommande d’approuver la demande de Cavin.

Toutefois, selon Nathalie Gougeon, la majorité des conseillers municipaux n’étaient pas au courant de cette demande.

Dans son rapport, elle explique que la lettre contrevient aux processus en place.

Nous croyons que la lettre envoyée par la Ville a amené le Comité de direction de l’OPNVR à approuver la demande de déblai-remblai, alors que la Ville n’aurait pas dû envoyer cette lettre, écrit-elle.

En plus des deux autres manquements, la vérificatrice générale note que la Ville a exclu certains de ses propres spécialistes à des étapes clés du processus d'examen de la demande pour le projet The Conservancy.

Pas de risques pour l’environnement, assure la Ville

La direction générale actuelle de la planification, de l’immobilier et du développement économique de la Ville a accepté chacune des recommandations émises par la vérificatrice générale.

Nathalie Gougeon recommande d’améliorer la communication avec le conseil municipal, d’éviter d'approuver les demandes des promoteurs auprès de tiers et de mieux inclure les experts de la ville lorsqu'ils travaillent avec des consultants.

L'hôtel de ville d'Ottawa, rue Laurier

L'hôtel de ville d'Ottawa, rue Laurier (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Danny Globerman

Ce qui est arrivé était erroné, a déclaré le directeur général actuel de la planification, de l’immobilier et du développement économique de la Ville, Don Herweyer, devant le Comité de vérification d’Ottawa, lundi.

Il a assuré aux élus présents qu’il n’y a pas d’inquiétudes à avoir en matière d’inondations.

Le développement immobilier est sécuritaire et ne pose pas de risques pour l’environnement, selon lui.

La vérificatrice générale a déclaré en comité qu’elle était toujours inquiète à la suite de son rapport.

J’ai d’autres inquiétudes, car je n’ai pas pu aborder certaines allégations [à défaut d’avoir compétence].

Une citation de Nathalie Gougeon, vérificatrice générale de la Ville d'Ottawa

Elle a expliqué à des élus municipaux, lundi, en avoir fait part au vérificateur général et à l’Ombudsman de l’Ontario.

Le Bureau du vérificateur général de la province a confirmé être au courant du rapport au sujet du développement immobilier The Conservancy. Une porte-parole a précisé que le bureau ne commentait généralement pas les travaux d'audit prévus ou en cours.

Avec des informations d’Arthur White-Crummey

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